Ce blog s'adresse à toutes les personnes qui ont connu , apprécié,aimé, la maison GROSJEAN de LONS LE SAUNIER dans le Jura
mercredi 13 janvier 2010
Témoignage d'amitié de Monsieur PIERRON
Cette photo datant de 1955 m'a été envoyé par le petit fils du représentant de la maison Grosjean , Monsieur Jacques PIERRON qui m'écrit:
"Bonsoir, pour agrémenter votre blog, que je viens de découvrir avec un plaisir immense, ci-joint la photo de mon grand-père Auguste PIERRON, représentant de votre Maison dans les années 1955 sur le secteur de Nancy, des Vosges et de la Meuse. Son domicile était au n° 58 rue de Metz à Nancy, et sur la photo, c'est le second personnage en partant de la droite ..... et au balcon du 2° étage, sa fille, ma tante Renée......
C'est très émouvant pour moi ! Les buvards, les maquettes en carton, les odeurs des caves, les bruits des klaxons de ses véhicules ..... et le samedi, c'était une joie pour moi de nettoyer les vitres de ces véhicules garés non loin de là ...... j'avais alors 10 ans."
"Bonsoir, pour agrémenter votre blog, que je viens de découvrir avec un plaisir immense, ci-joint la photo de mon grand-père Auguste PIERRON, représentant de votre Maison dans les années 1955 sur le secteur de Nancy, des Vosges et de la Meuse. Son domicile était au n° 58 rue de Metz à Nancy, et sur la photo, c'est le second personnage en partant de la droite ..... et au balcon du 2° étage, sa fille, ma tante Renée......
C'est très émouvant pour moi ! Les buvards, les maquettes en carton, les odeurs des caves, les bruits des klaxons de ses véhicules ..... et le samedi, c'était une joie pour moi de nettoyer les vitres de ces véhicules garés non loin de là ...... j'avais alors 10 ans."
Témoignage d'amitié de Monsieur MICHEL
Bonjour
Je viens de tomber sur votre blog dédié à La Vache Sérieuse (Grosjean) et à votre famille.
Lédonien d’origine (64 ans aujourd’hui ...), cela m’a rappelé de vieux souvenirs.
Mon père a travaillé dans les années 50-70 comme mécanicien d’entretien à l’usine Grosjean. J’y ai moi-même fait de courts stages à 14-15 ans pendant 2 étés. Nous avons été logés pendant 6 mois dans une annexe de l’usine (en attente de la finition de notre maison à l’Argentelle).
J’ai également bien connu Henry Grosjean, votre père je suppose (à moins que vous soyez de la branche Raymond Grosjean). Il était adjoint au Maire (Seguin) et je le voyais de temps en temps passer voir les musiciens de l’Harmonie Municipale dont je faisais partie ou encore lors de la remise des prix du Lycée.
J’ai également une photo de lui avec mon frère, lors du spectacle de fin d’année de l’usine Grosjean.
Chez nous à l’époque, on parlait beaucoup de la rivalité Bel-Grosjean et bien sûr nous étions tous convaincus que la Vache Sérieuse était nettement meilleure que la Vache qui rit.!... (pour autant, je suis quand même allé visiter le musée de la dite Vache cet été).
M’intéressant à l’urbanisme et architecture des 50 dernières années (environs) notamment dans le Jura et le Doubs, je serais intéressé de connaître la date de la construction de l’usine Grosjean avec ses toits arrondis. Si vous aviez cette information, j’apprécierais beaucoup que vous puissiez me la communiquer.
Bravo encore pour vos blogs.
Bien à vous.
Jean MICHEL
Puis Monsieur Jean MICHEL poursuit sur un mail suivant :
Mon père, Julien MICHEL, était très fier du travail qu’il réalisait comme “mécanicien d’entretien” à l’Usine Grosjean. Il lui était demandé de mettre au point des machines notamment pour la coulée de la pâte de gruyère fondu ou pour la confection des boîtes d’emballage en carton. J’ai retrouvé une des photos - malheureusement pas très bonne - prises par lui, je pense, à l’occasion de la mise au point d’une de ces machines. Il avait beaucoup de motivation pour son travail, et une réelle fierté de l’oeuvre réalisée. Rien à voir avec l’ambiance actuelle des milieux industriels...
Mon père, Julien MICHEL, était très fier du travail qu’il réalisait comme “mécanicien d’entretien” à l’Usine Grosjean. Il lui était demandé de mettre au point des machines notamment pour la coulée de la pâte de gruyère fondu ou pour la confection des boîtes d’emballage en carton. J’ai retrouvé une des photos - malheureusement pas très bonne - prises par lui, je pense, à l’occasion de la mise au point d’une de ces machines. Il avait beaucoup de motivation pour son travail, et une réelle fierté de l’oeuvre réalisée. Rien à voir avec l’ambiance actuelle des milieux industriels...
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